Je passe mon dernier après-midi à la plage. Les interviews sont terminées, les rues de Vec Riga n'ont plus de secrets pour moi, le temps est au beau fixe, une escapade à la plage s'impose.
Je quitte la poussiéreuse Riga et en une demi-heure de train, je me retrouve au calme. Le long d'une allée de pins majestueux, les maisons en bois peintes s'imposent doucement. Quelques promeneurs nous rejoignent. On est en début de semaine, les travailleurs sont plus nombreux que les vacanciers.
La plage s'étire sur des kilomètres, les groupes sont installés et profitent des rayons de soleil autour des restes d'un pique-nique gargantuesque. Je m'installe et contemple l'eau azurine et calme. Quelques moutons troublent l'onde paisible et après senti la chaleur se refléter sur mon dos, je laisse la fraîcheur m'envahir. Impossible de nager, le golfe de Riga n'est pas profond et sur des centaines de mètres, l'eau ne monte pas plus haut que les cuisses.
J'opte pour la nage baltique : quelques barbotements joyeux avant de regagner la terre ferme et de siester sur ma serviette. Je regarde les baigneurs, un père qui joue avec son fils au ballon, deux petits garçons qui courent vers la mer. A ma droite, deux élégantes marchent le long du rivage, une ombrelle collée dans l'épaule. Les cris des joueurs de volley troublent ma tranquillité. Le match gagné, ils vont s'écrouler dans l'eau. Le vent souffle juste assez fort pour lever les cerfs-volants dans le ciel. L'ambiance est parfaite.
C'est l'heure de faire le bilan de ce voyage, de mes expériences et des résultats. Je suis pensive, le temps passe vite, déjà quatre semaines et il est temps de rentrer. Je quitte la plage un peu nostalgique, la Lettonie m'a apporté son lot de surprises et de rencontres.
Je quitte la poussiéreuse Riga et en une demi-heure de train, je me retrouve au calme. Le long d'une allée de pins majestueux, les maisons en bois peintes s'imposent doucement. Quelques promeneurs nous rejoignent. On est en début de semaine, les travailleurs sont plus nombreux que les vacanciers.
La plage s'étire sur des kilomètres, les groupes sont installés et profitent des rayons de soleil autour des restes d'un pique-nique gargantuesque. Je m'installe et contemple l'eau azurine et calme. Quelques moutons troublent l'onde paisible et après senti la chaleur se refléter sur mon dos, je laisse la fraîcheur m'envahir. Impossible de nager, le golfe de Riga n'est pas profond et sur des centaines de mètres, l'eau ne monte pas plus haut que les cuisses.
J'opte pour la nage baltique : quelques barbotements joyeux avant de regagner la terre ferme et de siester sur ma serviette. Je regarde les baigneurs, un père qui joue avec son fils au ballon, deux petits garçons qui courent vers la mer. A ma droite, deux élégantes marchent le long du rivage, une ombrelle collée dans l'épaule. Les cris des joueurs de volley troublent ma tranquillité. Le match gagné, ils vont s'écrouler dans l'eau. Le vent souffle juste assez fort pour lever les cerfs-volants dans le ciel. L'ambiance est parfaite.
C'est l'heure de faire le bilan de ce voyage, de mes expériences et des résultats. Je suis pensive, le temps passe vite, déjà quatre semaines et il est temps de rentrer. Je quitte la plage un peu nostalgique, la Lettonie m'a apporté son lot de surprises et de rencontres.